














Les ouvriers étrangers de la classe ouvrière travaillent dans l’ombre et le silence, dans des conditions souvent difficiles, voire dangereuses. Qu’il s’agisse d’ouvriers du BTP, de travailleurs, de mécaniciens, de femmes de ménage ou de conducteurs de machines, leur quotidien est marqué par la précarité, le logement insalubre et la pénibilité au travail. Quand j’échange avec eux, je retrouve les souvenirs des premières années d’immigration de ma propre famille. Malgré tout, leur regard rayonne d’une certaine sérénité.